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SM - Les soumis de Maitresse Célia

Je me souviens très bien de l’angoisse qui était la mienne avant votre arrivée. Mon cœur battait fort, tandis que j’attendais votre arrivée à l’entrée de l’hôtel. Et ma voix, presque tremblante alors que je vous appelais pour vous donner le numéro de la chambre. J’avais peur de ne pas être à la hauteur de vos attentes, mais vous aviez su me mettre en confiance, et me rassurer aussi en m’indiquant que vous ne seriez pas trop exigeante pour la première fois. J’étais donc impatient que nous soyons dans la chambre, car je savais qu’après, cela irait mieux, même si j’allais pourtant devenir votre chose…


Quel soulagement de vous voir arriver, et quelle satisfaction de vous voir en chair et en os. Je me suis avancé vers vous pour vous saluer et prendre vos affaires, et nous sommes rentré dans l’hôtel.

Vous êtes encore plus séduisante que ce que j’avais imaginé en voyant vos photos.

Et le fait que vous soyez un peu plus jeune que moi ajoutait à votre charme, et au côté humiliant (et excitant) pour moi de me soumettre ainsi à une femme plus jeune.

 
Une fois dans la chambre, vous m’avez rapidement ordonné de me mettre nu. Je demandais stupidement : « entièrement Maîtresse ? »

et vous m'avez répondu de votre ton autoritaire que je ne connaissais pas encore :
« Bien sûr entièrement ! ».


J’étais un peu gêné, pas forcément d’être nu, mais plutôt de ne pouvoir cacher mon excitation… L’expression « mis à nu » prenait tout son sens !, mon état d’excitation n’aurait plus de secret pour vous.

Vous m’avez fait asseoir au bord du lit, et vous vous êtes placée sur la chaise, face à moi, de sorte que vous étiez un peu plus haute que moi. Vous me dominiez déjà par la position. Moi je baissais la tête. Je ne savais pas si j’avais le droit de vous regarder, et je savais que vous me scrutiez, vous m’observiez, alors je gardais plutôt les yeux baissés. J’étais intimidé, et un peu anxieux.

Après que j’ai ouvert la bouteille de vin blanc, nous avons trinqué à notre rencontre et à ce contrat de soumission qui fait de moi votre chose.


« On va voir si tu sais manger proprement comme un bon chien que tu es… »

Vous avez alors commencé à me donner à manger, et, comme vous l’avez vu, cela était très excitant pour moi de vous manger dans la main, comme un chien à sa Maîtresse. Et bien qu’ayant l’estomac noué par l’angoisse, l’excitation de manger ainsi m’a tout de même permis d’avaler ce que vous présentiez à ma bouche. Je m’appliquais du mieux possible pour manger proprement, difficile avec les tomates, mais je ne voulais pas vous décevoir. Vous croquiez  dans un morceau de jambon, ou de tomate, puis vous me tendiez le reste pour que je le mange. Quel délice. Je ponctuais parfois d’un « Merci Maîtresse » pour vous montrer que j’appréciais ce traitement (même mon sexe en erection parlait un peu d’elle même !).

Vous avez semblé satisfaite de ma façon de manger.

 

Puis vous m’avez scruté, ausculté, complimenté aussi un peu, et j’étais très content de vous plaire suffisamment pour que vous trouviez mon physique agréable.

Et lorsque vous m’avez demandé jusqu’ou je serai prêt à aller pour vous , j’ai répondu, peut-être naïvement mais pourtant avec convction, « jusqu’ou vous voudrez Maîtresse ». Je n’en revenais pas de m’entendre dire cela !


Me retrouvant au pied du lit, vous m’avez fait lécher et sucer vos doigts un petit moment, en me disant que je les suçais bien, et que probablement cela voulait dire que je suçerais aussi bien une grosse bite. Je n’osai répondre, ne sachant d’ailleurs quoi répondre, ces paroles me faisaient à la fois peur et m’excitaient.

Puis vous avez entrepris de me passer mon collier. Je sentais vos doigts effleurer mon cou, me faisant frissonner de plaisir, mais je sentais aussi le collier m’emprisonner. Je vous appartenais de plus en plus, et surtout, je devenais de plus en plus votre chien.

Vous m’avez fait monter sur le lit, à 4 pattes toujours, pour mieux observer mon cul de salope.

« Redresse toi pour te mettre à genoux, et mets tes mains dans le dos ! »

Mes mains ont été attachées dans mon dos…

A nouveau, quelle sensation forte et troublante que de me dire que j’étais votre prisonnier, je ne pouvais définitivement plus m’enfuir, et je n’en avais d’ailleurs nullement envie. J’étais votre esclave, attaché, sans plus aucune liberté. A part peut-être la parole, mais après avoir retiré votre culotte, vous me l’avez présentée sous le nez et contre ma bouche.


« Regardes comme tu excites ta Maîtresse, tu trouves que c’est normal de me faire mouiller comme ça ?!»


Je ne savais pas si je devais répondre ou m’excuser ou pas, mais vous m’avez de toute façon pressé votre string contre la bouche et le nez, de sorte que j’étais obligé de respirer votre odeur intime.

« Sens ta Maîtresse ».


Je m’éxecutais, jusqu'à avoir la totalité de votre string en bouche.

Vous êtes alors montée sur le lit, debout, face à moi, j’avais ainsi votre sexe à hauteur de mon visage, et vous m’avez ordonné de lécher ma Maîtresse. J’adorais votre parfum intime, et j’étais conscient à cet instant de la chance que j’avais d’être à vous Maîtresse. C’était un honneur pour moi, et je m’appliquais car je voulais vous faire plaisir en vous donnant si possible du plaisir pour que vous soyez fière de moi, et heureuse de m’avoir comme soumis.

Vos mains plaquaient de temps en temps ma tête et ma bouche contre votre vulve que j’aspirais avec dévotion.

Je sentais vos mains caresser ma tête. Moi je passais et repassais ma langue pour vous goûter, vous exciter, vous satisfaire, vous rendre hommage comme il se doit de la part d’un bon chien soumis.


Ensuite, vous m’avez ordonné à nouveau de me mettre à 4 pattes, en me libérant les mains pour que je puisse plus facilement me tenir en position. Et vous avez entrepris de vous occuper de mon cul de soumis. Il est étroit et vous me l’avez fait remarquer, et je m’en excuse Maîtresse, il est vrai qu’il n’a pas vraiment servi jusque là. Mais il est désormais à vous. Comme vous me l’avez d’ailleurs demandé :


« Alors, ce petit cul est quasiment vierge ? »

«  Oui Maîtresse, c’est vrai »

« il est à moi maintenant n’est-ce pas ? »

Vous vouliez me l’entendre dire, ce qui ajoutait bien sûr à mon humiliation et m’enfonçait (si je puis dire !) un peu plus dans ma situation de soumis.

« Oui Maîtresse, il vous appartient »

« Ca pourrait être amusant de le faire lécher par ma soumise, tu aimerais ? »

« Heu, oui, je pense Maîtresse ».

Mon hésitation m'a valu une claque sèche sur mes fesses avec une réprimende
« Tu n'es pas là pour penser sale chien, tu es là pour faire ce que je veux !»

Vous m’avez aussi demandé si j’avais déjà sodomisé une femme, j’avouais que non, ce qui vous a d’ailleurs un peu étonnée.

Alors que vous vous apprêtiez à me posséder, vous m’avez fait la grâce de ne pas me doigter à sec, et je vous en suis très reconnaissant Maîtresse.

Vous m’avez travaillé un petit moment mon anus pour me l’assouplir et me le décontracter, en m’indiquant que nous aurions du travail de ce côté là… J’en frémissais d’avance d’angoisse. Je me sentais à la fois un peu humilié de m’offrir ainsi, un peu ridicule aussi dans cette position, et pourtant impossible de nier mon excitation.

Puis vous êtes venue près de mon visage en m’ordonnant de fermer les yeux.

Je sentais votre peau frôler la mienne, vos cheveux également glisser sur mes épaules, et votre souffle près de mon oreille.

Je sentais aussi vos doigts s’enfoncer dans ma bouche, tandis que vous me chuchotiez :

« Tiens, tu aimes ? »

« Oui Maitresse »

« C’est bien, lèche bien les doigts qui viennent de t’enculer ! ».

Je me surprenais moi-même à ne pas avoir de haut le cœur, je me sentais tellement honteux et tellement excité.

Puis, dans la foulée, alors que j’avais toujours les yeux fermés, vous avez présenté à ma bouche un gode pour que je le lèche et le suçe, en me disant :

« on va passer à un peu plus gros, une salope comme toi ne devrait plus être vierge depuis longtemps »


Vous m’avez alors godé. Je sentais que le god avait un peu de mal à pénétrer dans mon anus, et j’aurais voulu faciliter son entrée, aussi pour que je le supporte mieux, mais je n’y parvenais pas. Le contact du gode le long de ma raie et à l’entrée de mon anus m’excitait incontestablement, mais dès qu’il commençait à me pénétrer, la sensation de gêne prenait le dessus. Pourtant je ressentis presque un soulagement lorsque celui-ci fut enfin enfoui en moi, mais ce soulagement fut de courte durée, car chacun des mouvement que vous imprimiez au gode faisait renaître ce mélange de gêne et d’excitation. Et ce sentiment d’humiliation. Mais je ne voulais pas vous décevoir, alors je restai le plus silencieux possible pour subir docilement.

A la fin de ce traitement, vous vous êtes installée au bord du lit, moi à terre, en m’ordonnant de vous lécher à nouveau longuement. Je ne savais pas si j’avais le droit de vous toucher ou pas (avec mes mains), alors je me contentais, ce qui est déjà un grand honneur, de lécher et promener ma langue entre vos cuisses en essayant de vous procurer le plus de plaisir possible. Quelle joie pour moi de pouvoir satisfaire ma Maîtresse.

Me faisant m’allonger sur le dos, sur le lit, vous êtes venue vous placer au-dessus de mon visage pour m’ordonner de vous lécher ainsi.

« Allez mon chien, lèche moi bien, j’adore, tu fais ça bien, lèche ta maîtresse »

Je vous remercie Maîtresse pour cela, et j’ai alors fait au mieux pour vous offrir ma langue le temps que vous avez souhaité.


Après ce moment, je dus retourner me mettre à genoux par terre dans un coin. Mais avant, vous m’avez demandé de vous réciter les 5 commandements. J’énonçais les 4 premiers sans hésitation et faillit avoir un trou de mémoire avant le dernier, heureusement pour moi, après une bref blanc et très court instant de panique, je récitais le dernier. Vous étiez satisfaite.


Je suis resté ainsi dans le coin quelques minutes alors que vous vous reposiez, allongée sur le lit. Puis, toujours allongée sur le lit, vous êtes venus placer votre tête au bord du lit pour donner les instructions suivantes :


« Fais quelques aller-retour à 4 pattes devant moi, que je vois si tu marches bien à 4 pattes… »


J’entreprenais donc de marcher ainsi devant vous, je me sentais honteux, surtout que je sentais votre regard posé sur moi. Et pour ajouter à ma situation, vous agrémentiez chacun de mes passages devant vous par un coup de cravache sur les fesses. Quelle honte aussi de sentir mon sexe qui se balançait entre mes jambes, toujours excité.

Moi, j’étais toujours la tête un peu baissée car je n’osais bien sûr pas vous regarder.

 


Puis vous m'avez demandé de m'allonger à côté de vous et vous avez entrepris de me masturber, jouant avec ce sexe qui est désormais à vous, en m'interdisant de jouir.

Tandis que vous me masturbiez lentement et délicatement, et que j’avais les yeux à moitié fermés par le plaisir, je vous sentis introduire un, puis 2 doigts dans ma bouche. J’ai compris bien sûr qu’il fallait que je les suçe, et je m’appliquais alors à le faire. Et je sentais que le rythme de vos caresses suivait le propre rythme de ma succion.

Plus je suçais vite, et plus votre main accélérait la masturbation de mon sexe.

Je savais que je n'avais pas le droit de jouir, mais j’en avais terriblement envie.

Alors, je vous prévenais que je n’allais pas pouvoir me retenir longtemps. Mais comme je m’étais arrêté de sucer vos doigts pour parler, votre main arrêta alors de me caresser.

Et lorsque je recommençais à sucer vos doigts, vos caresses reprirent.

Quelle humiliation et quelle plaisir à la fois, le haut de mon corps se retrouvait humilié, suçant vos doigts comme on le ferait avec une queue, mais obligé de continuer et d’accélérer pour avoir la chance de pouvoir jouir moi-même. J’avais à cet instant l’impression de ne plus maîtriser mon désir, de ne plus maîtriser mon corps, je m’abandonnai encore plus à vous et à vos caresses. Je savais que si je jouissais, cela me rendait aussi complètement esclave de vos envies. Vous alliez me donner du plaisir, je ne pourrai bien sûr pas le cacher ou le nier, et c’est justement cela qui allait augmenter encore un peu plus votre emprise sur moi.


J’aurais voulu résister mais impossible, je suçais vos doigts et je jouis en même temps. Je sentis mon jus gicler sur tout mon torse. J’aurai voulu arrêter cet orgasme car j’avais peur de ce qui allait suivre, mais impossible, je me vidai de plaisir. J’étais totalement sous votre emprise.

Je me pris une claque monumentale qui me rappella tout de suite mon état de soumis. Et je m’en voulais d’avoir ainsi joui sur vos doigts, alors lorsque que vos doigts souillés de mon jus se présentèrent devant ma bouche, je me surpris à les lécher docilement pour les nettoyer ! Et pire, tandis que vous récoltiez mon sperme répandu sur mon vente pour le présenter à ma bouche, je continuai de lécher mon propre jus, sans avoir de haut le cœur. C’est la moindre des choses que je pouvais faire en reconnaissance du plaisir que vous veniez de m’accorder. Plaisir qui faisait que j’étais un peu plus encore votre chose, et que mon corps vous appartenait encore un peu plus aussi.

Puis vous avez déposé un tendre baiser sur mes lèvres, je ne compris pas tout de suite que ce baiser devait à priori marquer la fin de la séance.

Par Maitresse Célia - Publié dans : SM - Les soumis de Maitresse Célia
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