Récits Erotiques

Je vous attends anxieuse, et exitée. Je sais que mon compte-rendu de la fois dernière vous a déplu de par le nombre de fautes de français, et je sais qu'une punition va tomber. Je ne sais pas laquelle, mais je me sens honteuse de vous avoir déçu. Cette fois, je me le promets, je ne vous décevrais pas, c'est certain.

Il est bientôt 14h. Je suis habillée d'une tenue de pute, et je n'ai pas oublié de me maquiler de la sorte, avec un rouge à lèvre rouge comme vous me l'avez imposé. Je suis là dans le coin de mon salon agenouillé comme une enfant qui s'est fait punir, les mains sur la tête. J'attends votre entrée. Les minutes me paraissent interminables, je suis entre la douleur, l'envie de baisser les bras, et la peur de vous décevoir. Et puis j'entends enfin le bruit des clés dans la serrure. Je sais que c'est vous, que vous les avez trouvé sous le paillasson et que vous rentrer dans ma demeure comme si elle était votre. J'entends vos pas venir à moi, je me sens mieux. Chaque claquement de tâlons et un pas de moins qui nous séparent. J'ai hate d'avoir la permission de vous apercevoir. Je vous imagine, belle comme toujours, et je sens déjà votre parfum, je suis tellement fière de vous appartenir. Mais vous me remettez vite à la réalité, celle que je suis votre chose. Vous me tirez violement les cheveux : "tu n'as pas honte sale chienne ! C'est comme ça que tu éduques tes enfants ! Regarde moi l'état de ton salon, des jouets partout ! C'est comme ça que tu accueilles ta Maitresse ! Pas étonnant qu'ils soient aussi bordelique avec une pauvre fille comme toi !"

Je me sens terriblement honteuse. Je savais que vous ne seriez pas contente, mais je venais juste de déposer mes enfants à l'école et je n'avais pas eu le temps de me préparer et de faire du rangement. Et j'ai le malheur de vouloir me justifier, j'ai oublié les commandements de ma Maitresse, et je l'ai vu à l'instant même où mes mots sont sortis de ma bouche. Vous êtes en colère. Je m'en rends malade...

Vous m'ordonnez de me lever, je m'exécute. "Montre moi comme tu te dandines comme une salope !" Vous prenez place sur mon canapé, et prenez plaisir à me regarder tapiner. Je n'arrive pas à croiser votre regard tellement je me sens honteuse. "viens ici !". Vous m'imposer de me mettre à genoux devant vous puis de me tourner afin que vous puissiez regarder mes fesses. Vos mains glissent le long de mes cuisses pour remonter jusqu'à mes fesses. Vous remontez ma jupe en me complimentant sur mon porte jartelle choisi pour l'occasion. J'entends la fermeture éclair de votre sac, je me demande ce que vous pouvez bien en sortir. Mais je comprends tout de suite de quoi il s'agit lorsque vous me demander de décompter en partant de 25.

"15 pour la punition que je t'ai promis, et 10 pour que tu comprennes que tu dois être une meilleure mère pour tes enfants".

25. Le premier coup de cravache fait toujours très mal. 24 le deuxième aussi car vous avez pour habitude d'alterner les 2 fesses. 23, 22 ... 1 je me sens mieux, même si quelques larmes ont coulé. Mes fesses sont endolories, mais je sais que vous ne m'en voulez plus et que j'ai été absolu de mes péchés. Vous revenez avec des glaçons que vous avez trouver dans mon congélateur, et vous apaisez ma douleur. J'aime lorsque vous prenez soin de votre soumise.

Puis vous me demandez de me tourner "Je n'aime pas quand tu me désobéi, tu le sais ?" Oh que oui Maitresse, je le sais. C'est alors que vous me mettez ma laisse. Je sais que lorsque j'ai mon collier, je suis votre chienne et je dois me comporter ainsi. Cette fois je ne vous décevrais pas. Vous me tirez jusqu'à ma chambre. J'ai sorti comme vous me l'aviez demandé tous mes gods et plugs. Vous me demandez de rester à 4 pattes mon cul exposé et bien ouvert. J'entends des mots qui me font plaisir "si tu savais comme tu es jolie, ma salope, lorsque tu t'offres à moi de la sorte".

Je me sens fière de vous servir ma Maitresse. Je sens un gel glisser sur mon anus. Je suis contente, car cette fois vous n'y êtes pas allée à sec. Mais lorsque je vois que vous prenez le god le plus gros, je ressens comme un frisson de peur. "Ton cul est tellement ouvert qu'il va gober cet engin tout seul ! Implore moi de te l'enfoncer sale chienne !" Et je vous implore Maitresse, je sens mon vagin qui s'humidifie. J'ai tellement envie de jouir, tellement envie de vous toucher, tellement envie de vous appartenir. Oh que la sensation de ce god dans mon cul de salope bien ouverte est agréable. Je gémis de plaisir. "Tu aimes ça, ça ne m'étonnes pas de toi !". Et vous me mettez l'objet du délice en bouche. Il est gros, tellement gros que je crois que je vais vomir lorsque vous me l'enfoncer trop profondement. Vous me laissez reprendre ma respiration.
"une pute doit bien savoir sucer si elle veut gagner sa vie !" et vous y aller de plus belle. Je ne veux pas vous décevoir. Je sens votre pied qui glisse jusqu'à mon chatte tout mouillé. Après le god, c'est votre pied que vous me mettez en bouche. "Nettoie le bien, sinon ce n'est pas un mais 2 god que je vais te mettre dans ton gros cul de salope". J'ai déjà l'anus endolori, je fais en sorte vous n'ayez pas besoin de vous exécuter. Mais vous me souriez, de votre sourire que j'aime tant. Une vraie déesse. "Tu as été une bonne chienne. Je pense que tu as le droit d'être récompensé". Vous prennez la laisse et me dirigé sous votre jupe. "Baisse mon string !" Ce que je rêve depuis longtemps est sur le point d'arriver, je vais pouvoir voir votre intimité, plaisir ultime que j'attendais depuis ces 3 rencontres. "Ne me déçoit pas, lèche moi comme il se doit !" Je découvre votre sexe divinement épilé, lisse et aussi humide que le mien. Je commence à lécher vos lèvres, puis j'introduie ma langue dans votre intimité. Puis je m'attarde sur votre clitoris. Vous semblez apprécier alors je continue. "tu es une bonne chienne, continue, fait moi jouir". Quelle plaisir de pouvoir vous menez à l'extase ma Maitresse, bien sur que je vais remplir mon devoir, j'y mets tout mon coeur.
Vous me menez dans la position du 69 "je veux contempler ton cul de salope". Vous en profitez pour me goder une fois de plus, ce qui décuple notre plaisir réciproque. Mon corps tremble, j'ai du mal à me contrôler. C'est la première fois que je lèche le sexe d'une femme. Que c'est bon. Je sens votre clitoris se durcir, je sais que vous n'êtes pas loin de la jouissance. Les vas et vient du god se font de plus en plus rapide, et l'exitation aussi. Je vous sens gémir, je sens que vous jouissez, vous savez que j'allai en faire autant, alors vous interromper les vas et vient. Je bascule sur le côté du lit comme demandé avec une frustration extrême. Vous vous redressez à votre tour, et vous m'embrasser langoureusement de ce baiser qui annonce comme à son habitude, la fin de la séance.
Je vous admire Maitresse, je vous admire...